L'Institut du patrimoine culturel remercie chaleureusement pour leur implication les membres du comité organisateur du colloque Patrimoine(s) et sensibilité, qui se tiendra le mercredi 14 mai 2025, à l'Université Laval (salle DKN-2419) et en ligne. En savoir plus.
Samuel Ainsley
Samuel Ainsley est inscrit au programme de maîtrise en histoire à l’Université Laval. Sous la direction du professeur Jean-François Gauvin, il rédige un mémoire touchant aux thèmes des savoirs et de leur transmission ainsi qu’aux relations entre les Européens et les populations d’ailleurs.
Ibrahima Cisse

Ibrahima Cisse est un jeune chercheur en diplomatie culturelle, coopération culturelle internationale et gouvernance mondiale de la culture. Il est titulaire d’un Master II en développement, spécialité Tourisme et Patrimoine culturel de l’Université Senghor à Alexandrie et d’un Master universitaire Tourisme et Valorisation du Patrimoine de l’Université Mohammed Premier d’Oujda. Il a également fréquenté quelques écoles de commerce à Dakar et soutenu un mémoire de 3e cycle sur la diplomatie culturelle de l’État du Sénégal au CEDS de Paris, antenne régionale de Dakar. Ibrahima Cisse est depuis 2020 doctorant en muséologie, médiation, patrimoine à l’Université du Québec à Montréal. Sa thèse porte sur « la coopération internationale des musées publics sénégalais de l'époque postindépendance (1960-2025) ». Il travaille sous la codirection des professeurs Yves Bergeron et Khadiyatoulah Fall.
Elisabeth Comeau

Titulaire d’un certificat en archivistique, Elisabeth Comeau est finissante au baccalauréat intégré en sciences historiques et études patrimoniales (BISHEP) à l’Université Laval. Elle a obtenu en 2024 le Prix du Département des sciences historiques. Récipiendaire d’une bourse d’études supérieures du Canada du CRSH, elle débutera à l’automne une maîtrise en ethnologie et patrimoine à la même université. Impliquée dans l’Association des étudiant-es en sciences historiques et études patrimoniales (AESHEP) depuis 2023, elle occupe des emplois qui l’ont menée à travailler dans les domaines de l’archivistique et du patrimoine bâti.
Betty Ann Cormier

Betty Ann Cormier est hookeuse de tapis depuis 58 ans et en est une de 4e génération. Le titre de sa thèse est, pour l’instant, « À quoi ressemble la modernisation des tapis hookés style Chéticamtain ». En 2027, Chéticamp célébrera les 100 ans d’existence des tapis hookés dans la région. Ces tapis sont reconnus dans le monde pour la qualité et l’originalité des pièces. Tandis que les techniques de création ont peu changé au fils des années, les motifs, les artisans, leurs collaborateurs et le marché ont évolué. Dans les années 1980, on comptait des centaines d’artisans; aujourd’hui, il n’y en a plus qu’une soixantaine. La communauté s’inquiète pour la survie de son art. Depuis 2023, les Chéticamtains se mobilisent afin de donner une nouvelle vie, un nouveau souffle à cet art. Pour la première fois, les gens se rencontrent régulièrement et cherchent des pistes afin d’assurer la transmission de leur art. Différents projets sont déjà en place pour combler les besoins. Cette recherche veut reconnaître les enjeux qui ont amené la production de cet artisanat à chuter et reconnaître et promouvoir les efforts faits aujourd’hui.
Morgane Gauvin
Morgane Gauvin a travaillé tout au long de son baccalauréat en ethnologie sur l’identité insulaire, la chasse et la pêche ainsi que le traitement des matières premières au Québec. Maintenant au 2e cycle en ethnologie et patrimoine, elle se concentre sur la chasse aux phoques aux Îles-de-la-Madeleine dans le but de montrer que ce patrimoine vivant, unique aux Îles et aux Madelinots, est une richesse pour le Québec ainsi que pour les études sur les pratiques cynégétiques autant qu’halieutiques. Elle travaille sous la direction de Laurier Turgeon depuis septembre 2024 pour ce projet.
Nicolas Grenon-Simard

Nicolas Grenon-Simard est candidat au doctorat en ethnologie et patrimoine à l'Université Laval. Détenteur d’un baccalauréat intégré en sciences historiques et études patrimoniales (BISHEP) et d’une maîtrise en ethnologie et patrimoine, il a notamment effectué des recherches sur la mise en exposition de la collection archéologique et patrimoniale du site Cartier-Roberval. Dans le cadre de ses études doctorales, sous la supervision d’Habib Saidi, il étudie le rôle social des musées québécois et la réactualisation des discours muséographiques sur des collections patrimoniales à l’aune des préoccupations et des changements sociopolitiques contemporains. Il s’intéresse également aux notions de patrimoine sensible, de sensibilité, d’affect et d’émotion dans un contexte muséal et patrimonial. Durant son cheminement aux cycles supérieurs, il a obtenu le soutien de plusieurs organismes subventionnaires, dont le Conseil de recherche en sciences humaines (CRSH) (2022-2024 ; 2024-2027), l’Unité mixte de recherches Capitales et patrimoines (UMRcp) (2022-2024) et le fonds Simonne-Voyer (2024).
Ritika Khanna

Ritika Khanna est doctorante en ethnologie et patrimoine à l’Université Laval, sous la direction du professeur Laurier Turgeon. Ses recherches portent sur les synergies entre la Convention du patrimoine mondial de 1972 et la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de 2003 de l’UNESCO. Ritika possède une expérience concrète dans la mise en œuvre des conventions culturelles de l’UNESCO, ayant précédemment travaillé comme consultante auprès du ministère de la Culture du gouvernement de l’Inde. Elle est également membre du Réseau mondial des facilitateurs pour le patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO.
Fritz-Gerald Louis

Doctorant en muséologie, médiation et patrimoine à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), Fritz-Gerald Louis est détenteur d’une licence en histoire de l’art et archéologie de l’Institut d’études et de recherches africaines d’Haïti (IERAH – Université d’État d’Haïti) et d’une maîtrise en histoire, mémoire et patrimoine (Université d’État d’Haïti, en partenariat avec l’Université Laval). Il est membre du Centre de recherche Cultures – Arts – Sociétés (CELAT), de l’Institut du patrimoine de l’UQAM et de l’Institut du patrimoine culturel (IPAC).
Gaël Quélennec
Gaël Quélennec est étudiant à la maîtrise en histoire avec mémoire à l’Université Laval sous la direction de Shenwen Li. Il s’intéresse à la perception qu’avaient les missionnaires jésuites québécois des traditions familiales des habitants de la région du Xuzhou dans la première moitié du XXe siècle. Il traite de sujets comme la structure familiale traditionnelle et le rôle des individus au sein de celle-ci. De plus, il analyse le regard des missionnaires sur le quotidien des foyers : logement, éducation, fêtes, cérémonies de mariage et funéraires ainsi que les activités productives des habitants. Finalement, Gaël apprend le mandarin afin de compléter sa formation et de comprendre davantage la culture chinoise.
