L’histoire de l’IPAC

En un peu plus de deux décennies, l’IPAC est passé d’un projet à un institut de recherche bien établi. Découvrez tout le chemin parcouru depuis sa fondation et les personnes qui ont marqué son développement.

Qu’est-ce que l’IPAC?

L’idée de fonder l’IPAC naît en 1997, à la suite de la tenue, à l’Université Laval, du II^e séminaire international du Forum UNESCO – Université et patrimoine. Sur recommandation de l’UNESCO, l’assemblée reconnaît l’importance sociale et scientifique de la création d’un institut dont les travaux porteraient sur le patrimoine culturel. De nature pluridisciplinaire, l'IPAC doit également son existence aux efforts conjoints de quatre facultés :

la Faculté des lettres et des sciences humaines;
la Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design;
la Faculté des sciences sociales;
la Faculté de théologie et de sciences religieuses.

Depuis sa fondation en septembre 2000, l’IPAC vise l’atteinte de nombreux objectifs qui découlent d’une même mission : encourager les activités de recherche et d’enseignement dans le domaine du patrimoine. La création d’un réseau rejoignant chercheur-ses, intervenant-es et organismes à travers le monde permet à l’IPAC de se démarquer.

De gauche à droite : Jacques Mathieu, doyen de la Faculté des lettres, Lise Darveau-Fournier, doyenne de la Faculté des sciences sociales, Cyril Simard, titulaire de la Chaire UNESCO en patrimoine culturel, Marc Pelchat, doyen de la Faculté de théologie et des sciences religieuses, Martine Cardin, directrice de l’IPAC, N’dèye Fall, représentante de l’UNESCO au Canada et Claude Dubé, doyen de la Faculté d’aménagement, d’architecture et des arts visuels.

Des personnes marquantes

Des personnes ont grandement contribué à faire de l’IPAC ce qu’il est aujourd’hui – et plusieurs continuent d’y jouer un rôle actif!

Cliquez sur les images pour en apprendre davantage sur leurs réalisations.

Martine Cardin. Professeure associée d’archivistique à l’Université Laval. Directrice de l’IPAC de 2000 à 2004. Pionnière ayant participé à la naissance de l’IPAC en jetant les bases institutionnelles et scientifiques de l’institut. Collaboratrice au colloque Médias et patrimoine, première activité d'envergure internationale de l’IPAC.

Laurier Turgeon. Professeur d’ethnologie et d’histoire à l’Université Laval. Directeur de l’IPAC de 2005 à 2012, puis de 2021 à ce jour. Directeur de l’Encyclopédie du patrimoine culturel de l'Amérique française de 2005 à 2013. Intervenant influent lors de l’élaboration de la Loi sur le patrimoine culturel du Québec grâce au dépôt de trois mémoires au ministère de la Culture et des Communications.

Habib Saidi. Professeur d’ethnologie. Directeur de l’IPAC de 2012 à 2021. Créateur du volet international des écoles d’été de l’IPAC permettant d’explorer des sites du patrimoine mondial. Fondateur de l’Unité mixte de recherche Capitales et patrimoines, soutenue par un financement de 2,375 millions de dollars.

Marie-Claude Rocher. Professionnelle de recherche. Adjointe à la direction de l’IPAC de 2000 à 2012. Coordonnatrice du 133e Congrès du Comité des travaux scientifiques et historique de France, tenu pour la première fois à Québec pour les 400 ans de la ville. Coorganisatrice de la première école d’été de l’IPAC, qui s’est déroulée à Saint-Jean-Port-Joli.

Jean-François Plante. Professionnel de recherche. Adjoint à la direction de l’IPAC de 2012 à 2021. Concepteur de cinq concerts de musique du monde tenus dans le cadre de l’école d'été de l’IPAC au Musée national des beaux-arts du Québec. Coordonnateur scientifique et technique du colloque Les Récollets en Amérique: traces et mémoire.

Marie-Christine Lambert-Perreault. Professionnelle de recherche. Coordonnatrice scientifique de l’IPAC depuis 2022. A contribué à ce jour à l’organisation de plus d’une trentaine d’événements scientifiques, dont des conférences, des tables rondes, des séminaires, des colloques étudiants, des causeries, une demi-journée d’étude et une école d’été.

Évolution du logo de l’IPAC